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L'accroc Paul (ex Journal d'un Money Addict)Alcohol, money, sex, drugs and other futilities

26 janvier 2007

EN VIE...ENVIES!

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Sentir sous la paume de mes mains

La pointe érigée de tes seins

Épouser d’une caresse

Le galbe de tes fesses

Me presser contre toi

Pour m’ébattre avec toi

Descendre mes doigts

Vers l’onde qui foudroie

Mon dard tout droit se dresse

Epris dans tes mains forteresses

Tes lèvres humides s’ouvrent

Ton désir intrépide se découvre

Ton ventre se soulève en cadence

Tes jambes se dérobent

Tes yeux se révulsent

Tu entames une furieuse danse

Prête à déchirer ta robe

Au son de râles que ta gorge expulse

A l’oreille on ne susurre plus de mots doux

Je t’empoigne et te pénètre

Ma main s’aggripe à tes cheveux fous

Je te chevauche à cru

Nos désirs  l’un l’autre s’alimentent

Nous laissant emporter nus

Heureux et gourmands dans la tourmente

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23 janvier 2007

MUET

Est-ce la douleur ?                                                                     piano_muet

Est-ce cette infinie lassitude

Que masque mon inlassable énergie ?

Est-ce la stupeur

Prostré au milieu de la foule

Dans mon infinie solitude ?

Pourtant  j’ai tant de choses à vous dire

Tant les mots, les pensées, les élans

Se bousculent dans ma tête

Jusqu’aux portes de mes lèvres.

Mais je suis là , incognito

Anonyme et muet

A desespérement attendre

L’aube où je pourrais vous

Voir, vous entendre, vous toucher

Et vous parler

24 août 2006

iL Y A DES SOIRS COMME CA!

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8 juillet 2006

Trangressions, régressions, perversions

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(Nous avons procédé courageusement et en toute honnêteté à un inventaire moral minutieux de nous-même. 4ème étape du programme des Alcooliques Anonymes)

Cette fameuse 4ème étape qui fascine autant qu’elle fait peur ! L’honnêteté et le courage qu’elle me demande m’invite à m’observer sans concessions. Or, je sais bien qu’en mon for intérieur, je suis le roi des  compromis, sans parler des compromissions. Je ne suis exigeant avec la vérité que lorsque celle-ci m’arrange. Je trouve pour ma part, le terme « inventaire » bien choisi. L’inventaire reste neutre. Il fait état, c’est tout ! Il donne des indications, mais ne juge pas. Moi qui m’estime souvent victime des autres, des circonstances, de « pas de chance ! », je suis invité à dresser mon propre inventaire : pas celui des autres, des circonstances, et de « pas de chance »

«Le pervers ne s'abandonne pas seulement au mal, mais le désire». Manuel alphabétique de la Psychiatrie;Henri EY 1975

Madame Psy pense que je suis pervers. Lorsqu’elle m’a dit çà, j’ai failli bondir de ma chaise (Nan, nan, y’avait pas de divan !) Quoi ? Moi ? Pervers ? De quel droit s’arroge t’elle pour asséner cette assertion ? Il est vrai je l’avoue, en matière sexuelle, j’aime bien parfois me targuer de certaines perversités(fantasmesdedomination /Soumissions entre autre, mais rien de bien méchant. Et en plus, c’est moi qui le dit. Quand c’est quelqu’un d’autre, alors là, non ! Mon égo ne le supporte pas.

Elle m’a dit : « Réfléchissez ! ». Votre histoire fait ressortir, que pour fuir votre mal-être vous transgressez des lois.  Votre père vous écrase de son autorité ! Que faîtes- vous ? Vous vous réfugiez chez un « ami » de la famille qui de surcroît est pédophile et qui vous a fait subir des attouchements. Mais vous y retournez tout de même à plusieurs reprises, et ce pendant plusieurs  années! Pour lui faire « payer » le prix de l’affront, vous revenez chez lui pour lui voler en fait de l’argent.

A l’école, un instituteur vous terrorise, vous faîtes l’école buissonnière ! Plus tard, vous « escroquez » des petites sommes à l’entreprise qui n’est pas elle-même d’une rigueur morale exemplaire. Vous êtes découvert : vous disparaissez pendant 2 mois. Quand on suit votre parcours, il y a d’incessants « accrocs ». Jamais de gigantesques escroqueries, mais des mensonges par action ou par omission, des dissimulations, des tromperies diverses. Certes, votre alcoolisme a pu dévier certains comportements, mais votre maladie alcoolique n’explique pas tout, il y a à la base un terreau propice. Pour expliquer qu’avec alcool ou sans, vous adoptez des comportements « déviants », et j’ose même affirmer que malgré les souffrances dues entre autre à la culpabilité, vous prenez un certain plaisir à adopter ces dits comportements. Et vous vous plaigniez par la suite que la vie ne vous apporte pas toutes les satisfactions que vous espérez ! Je vous le répète, réfléchissez-y !

Il est parfois des vérités qui ne font pas plaisir à entendre, mais je me suis souvenude cette fameuse 4ème étape, et finalement je remercie Madame Psy d’avoir donné plus d’éclairage à ma lanterne dont la lumière vacillait dangereusement.

Pour informations, il s’agit d’une psychologue d’un Centre Médico Psychologique qui propose une certain nombre de consultations gratuites pour celles et ceux qui n’ont pas les moyens  suffisants pour le moment de s’offrir les services de professionnels en ville. Renseignez vous dans votre ville !

28 juin 2006

RÉSISTES !

bhel_resistance

« Si on t'organise une vie bien dirigée

Où tu t'oublieras vite (…)

(…) Refuse ce monde égoïste, Résistes ! Résistes ! »  (Michel Berger)

Résister à la pression (trop) bienveillante mais Ô combien insistante  de l’entourage, ou céder aux charmes paralysants de l’ inertie, voilà un défi auquel je dois me confronter chaque jour que Dieu fait !  Après avoir enfin admis du bout des lèvres que je n’ai pas fait exprès d’aller mal, après avoir constaté que l’aide réelle de l’extérieur m’a permis de me redresser et de retrouver ce goùt si appréciable de vivre, mes amis, mes amours et mes emmerdes me font comprendre avec une légère pointe d’agressivité que il ne faut pas se contenter de guérir/ Il me faut repartir sans délais à la conquête du monde. Après avoir analysé et partagé auprès d’eux les raisons de certains de mes échecs m’ayant conduit derechef à une dépression carabinée, j’essaie de leur faire comprendre que ma vision du monde n’est pas forcément la leur.  Parfois,à limite convaincus, ils me donnent raison, mais très vite le « Oui, mais … » intervient .

Maintenant loin de moi de ne pas vouloir écouter leurs arguments. Mais je suis entrain de reprendre mon souffle. Du stade – 20, je suis passé à + 10, en l’espace d’à peine 2 mois. Je revendique le temps d’une pause. Pour être complètement honnête, je sais aussi qu’il faut que je me méfie comme de la peste de ces pauses qui se terminent en arrêt prolongé. La raison veut que je pose quelques actes au moins chaque jour, comme autant de petits pas, à mon rythme, pour continuer le voyage. Imprégner à ma vie le rythme qui est le mien

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17 mai 2006

ATYPIQUE! (SLAM VA!)

Atypique je suis. Je ne le sais que trop bien

Cultiver sa différence, je le veux bien

Rien à faire ! Je ne rentre dans aucune case

Pourtant, j’ai pas trop l’impression d’être si naze

Cheville ronde qu’on essaie de fair’ rentrer

De force s’il le faut dans un grand trou carré

Mais dis-moi toi comment faire sans s’enferrer 

Les quatre fers en l’air, l’air de rien c’est trop l’enfer !

« Intéressant, original, et… et en plus,

De plus, je vous l’assure vous m’êtes très sympathique,

Mais comment dire, hum… vous l’ comprendrez , j’en suis sûr

Hum, comment dire, hum… Vous êtes par trop atypique ! »

Me rétorque l’air désolé l’assist’ du DRH

Du méga jeu de société « Play, Loose ‘nd Cash”         

Alcoolique je suis, je ne le sais que trop bien

Mais depuis bientôt presque 20 ans, plus rien !

L’alcool n’a plus franchi la porte de mes lèvres

Plus d‘ mèche, plus d’carburant, plus d’cocktails détonnant

Peu à peu, comme Baby Vic, je me relève

Le revendique et en suis fier : abstinent !

T’en connais beaucoup toi d’alcooliques abstinents ?

Hein tu crois que dans la rubrique succès story

Je peux m’en targuer et l’écrire sur mon CV ?

« Intéressant, original, j’vous félicite

Mais que puis-je pour vous ? vous n’êtes plus illicite !

Sympathique, certes, mais alcoolique atypique

Me rétorque l’air ravi-navré l’éthyologue

Désolé, je n’ai pas çà en catalogue !"

Money addict je suis, je ne le sais que trop bien

Mon banquier me considère comme un vaurien

Je claque la thune que je n’ai pas encore gagné

Chercheur d’or affamé, je creuse pour combler

Sex addict je suis, je ne le sais que trop bien

L’oisiveté est la mère de tous les vices

Et les vices à loisir, j’en ai tout plein    

Lorsque la vie me stress, je sens que je dévisse

Je m’shoote au film de cul comme un drogué

En manque, je me secoue la seringue

Ca m’arrive même de culpabiliser comme un dingue

Pas intéressant, pas original, c’est pas bien

Me sermonne l’air furibarde l’addict sexologue

Déversez-vous, exhibez-vous sur votre blog !

Atypique je suis. Je ne le sais que trop bien

Cultiver sa différence, je le veux bien

Rien à faire ! Je ne rentre dans aucune case

Pourtant, j’ai pas trop l’impression d’être si naze

Cheville ronde qu’on essaie de fair’ rentrer

De force s’il le faut dans un grand trou carré

Mais dis-moi toi comment faire sans s’enferrer 

Les quatre fers en l'air..l'air de rien c'est trop l'enfer!

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17 avril 2006

Prière pour un casseur repenti

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Me voilà de retour parmi vous. J’essaie tant bien que mal de me raccrocher aux wagons. Putain de dépression. Rien que le mot me faisait penser aux pestiférés à  qui on signalait de s’ écarter du passage des honnêtes gens à grand coups sonores de crécelle. Culpabilité, remords. Ca ressemble pour moi à une rechute dans l’alcool, mais sans l’alcool. En plus j’ai causé pas mal de dégâts collatéraux . Plus le sens de mes responsabilités au niveau familial, gros soucis financiers. Ma compagne me hait ! Bah, ce qui me console c’est que derrière la haine, il y a de l’amour. Ma vie ressemble à un terrain de désolation après l’ouragan. Je ne peux pas me contenter de dire : « Ouf ! l’ouragan est passé ! ». Je dois m’atteler sans délais à la , reconstruction de ma vie. Et avant toute chose, retrouver le sens des priorités, par quoi commencer. La tâche est ardue. Je sais que j’ai besoin pour çà de me faire aider. Mettre de côté mon stupide orgueil.

Pour terminer j’aimerais conclure par une magnifique prière de Saint-François d’Assise qui m’a toujours particulièrement ému. Qu’on croie au Ciel ou qu’on n’y croit pas , les principes à méditer de  paix, tolérance, d’espoir et d’amour qui y sont énoncés ont une valeur universelle

Seigneur,
fais de moi l'instrument de ta paix afin que
Là où est la haine, que je puisse apporter l’amour.
Là où est l’offense, que je puisse apporter le pardon.
Là où est la discorde, que je puisse apporter l’harmonie.
Là où est l’erreur, que je puisse apporter la vérité.
Là où est le doute, que je puisse apporter la foi.
Là où est le désespoir, que je puisse apporter l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je puisse apporter la lumière.
Là où est la tristesse, que je puisse apporter la joie.

Seigneur, que je cherche plutôt
à consoler qu’à être consolé,
à comprendre qu’à être compris,
à aimer qu’à être aimé.

Car c’est en se donnant que l’on reçoit,
c’est en s’oubliant que l’on se trouve,
c’est en pardonnant qu’on est pardonné,
c’est en mourant qu’on s’éveille à la vie éternelle.
Amen.

7 avril 2006

Peut-être qu'un au revoir!

CA Y’EST LA BOMBE A EXPLOSE!

Et comme indiqué l’autre jour, elle a fait beaucoup de dégâts. Entre autre, dégager de chez moi pour laisser ma compagne récupérer, privant ainsi pour quelque temps de père mon fils adoré. Je dois aussi me récupérer et sauver de moi ce qui peut l’être. Pourtant moi qui suis alcoolique de nature, pas un moment l’idée de reprendre un verre ne m’a tentée. Cette abstinence  d’alcool délibérément désirée est mon bien le plus précieux. C’est mon trésor le plus inestimable. Cette abstinence est le ciment de ma liberté. Comme tous ceux qui ont été privés de cette liberté pendant un certain temps, je continue à me chercher. Je suis bien conscient que mes dépendances me ramènent dans ces  prisons  aux cachots humides, d’où de longues plaintes hantent les nuits glacées. Parfois plutôt que de tenter l’expérience d’apprivoiser ma liberté et de l’expérimenter, je préfère m’en retourner dans les lieux pourtant si inhospitaliers que je connais. Comprenne qui pourra, qui voudra.

Vu ma nouvelle situation, je traînerai moins sur ce blog et sur les vôtres. Vous me manquerez. Je vous aime !

au_revoir

6 avril 2006

L'"esthetisation" de la souffrance

Recueillement

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.

Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma douleur, donne-moi la main ; viens par ici,

Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;

Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.

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Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle

Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;

Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;

Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,

Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.

- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.

J’ai toujours aimé Beaudelaire et ses atmosphères spleenesques ! J’intervenais hier soir lors d’une réunion, où le thème était notre difficulté à nous associer véritablement avec d’autres êtres humains, à cause entre autre de notre égoïsme et de notre égocentrisme. C’est alors qu’un des membres s’est levé pour parler du piège de l’esthétisation de la souffrance. Dans son excellent livre relatant sa dépression, Philippe Labro  nous montre que dans la phase active de la dépression, tout  se ramène à son nombril d’où l’extrême difficulté à communiquer avec le monde qui nous entoure. Et c’est dans cet enfermement, ce repli sur soi que je peux me masturber sur ma souffrance, sur l’incompréhension, sur l’hostilité du dehors…Je me ligote tout seul. La dépression est une vraie maladie. La souffrance en est le mesaager, seulement le messager, et non pas un objet de culte. Quelqu’un m’a demandé l’autre jour, ça serait quoi pour toi  être « guéri » ?

Pour moi ? C’est quand je serai capable de prendre la souffrance pour ce qu’elle est, sans me mirer dans ses eaux troubles.

1 avril 2006

Vous avez dit syndrôme anxio-dépressif?

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Hier, rendez-vous avec une psy.(Double méfiance pour moi. : Ne me croyez pas misogyne, ni pédé, mais les psys, c’est comme les coiffeurs, je préfère que ce soit un homme). Déduisez-en ce que vous voudrez. J’ai pas mal usé de « psy » femmes, et ça se terminait souvent en conversation de salon. Payer pour taper la causette, merci bien! Sans compter que je les « baladais » pas mal. Résultat des courses : c’est moi que je « baisais » en réalité.

Je suis allé la voir sur conseils d’  « éminents » amis qui m’en ont dit le plus grand bien. Je dois bien avouer que j’ai été séduit. Non pas par son beau sourire, et son écoute emphatique de mes problèmes, mais par la rigueur et le concret  du contrat « moral »  que nous avons passé ensemble. Au départ, quand je la voyais souriante comme çà, je me suis dit in petto : « Encore une que je vais me mettre dans la poche ! ». Mais en réalité, j’étais informé qu’elle ne s’en laissait pas conter, et qu’elle saurait parfaitement s’y prendre pour me renvoyer dans mes cordes.

Après avoir succinctement exposé les raisons qui m’ont amenées à la consulter,  elle m’a demandé de remplir un questionnaire d’une quinzaine d’items, dont j’apprendrai par la suite qu’il sert à déterminer l’intensité du syndrome anxio dépressif . Je vais essayer de me rappeler en quoi consistaient ces questions. Je ne m’en souviens pas de toutes, mais il y en a qui m’ont marquées plus que d’autres. Je ne vous garantis pas l’ordre non plus. Mais pour celles  et ceux qui le souhaitent, vous pouvez essayer d’y répondre.

Un seul préalable : Ne prenez en compte que l’état du moment où vous répondez, pas l’état d’hier, avant-hier, ou il y a 6 mois .

Prêt(e) ?

Entre 0 et 10 Quel est l’état de votre moral aujourd’hui ? 0 signifiant pas le moral du tout, et 10 signifiant un  excellent moral

Avez vous autant de plaisir qu’avant pour faire les choses qui vous plaisent ?

-         oui autant qu’ avant

-         un peu moins qu’avant

-         beaucoup moins qu’avant

-         plus du tout

Avez-vous éprouvé récemment des peurs paniques ?

-         oui très souvent

-         oui de temps en temps

-         cela m’est arrivé une fois

-         non, pas du tout

Avez-vous le sentiment qu’une chose horrible va se produire ?

-         oui  très nettement

-         oui confusément

-         pas souvent

-         non, pas du tout

Vous prenez soin de votre apparence ?

-         autant qu’avant

-         un peu moins qu’avant

-         beaucoup moins qu’avant

-         plus du tout

Vous sortez et vous distrayez

-         autant qu’avant

-         un peu moins qu’avant

-         beaucoup moins qu’avant

-         plus du tout

Vous pouvez rester seul(e) et  vous contenter de ne rien faire ?

-         autant qu’avant

-         un peu moins qu’avant

-         beaucoup moins qu’avant

      -    plus du tout

Il y en a d’autres, mais je ne m’en souviens plus pour l’instant. Dès que je m’en souviens, je vous en ferai part, promis.

Moi, en tous les cas qui ai toujours été un cancre patenté, j’ai eu des notes comme je n’en n’ai jamais eues auparavant. Même si elles sont élevées , elles en sont nettement moins glorieuses. J’ai eu 15/20  en qui concerne l’anxiété, et 17/20 pour la dépression.

Conclusion : On traite en priorité le syndrome, en usant d’anti-dépresseurs. Ca sera après seulement qu’on traitera seulement la psychothérpie.

On m’a tellement seriné que l’alcool entre autre était l’arbre qui cache la forêt !

Vous pourrez retrouver l'intégralité du test à l'adresse suivante:

http://www.medecine-et-sante.com/calculsettests/angoissedepression.html

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